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Crédits photos : Aki Sato (https://www.flickr.com/photos/neco299/5320569712/)
Le kamishibaï que l’on peut traduire par « Théâtre de papier », est le nom donné par les Japonais pour désigner une série de planches en papier puis plus tard en carton. Ces illustrations racontent une histoire et chaque image présente un épisode du récit.
Les planches illustrées sont introduites dans une glissière en bois fermée par 3 portes. Le butaï (castelet en bois) encadre l’image et focalise l’attention des auditeurs sur l’illustration.
Le kamishibaï apparait vers le VIII eme siècle au Japon. Il est utilisé par des moines Bouddhistes pour transmettre leur enseignement. Il est destiné à un public adulte afin de soutenir l’attention des auditeurs qui alors, étaient totalement illettrés. Ils s’accompagnaient de desseins peints sur des rouleaux de toile ou de papier collé, ou sur des planches de papier illustrées glissées dans un cadre de bois qu’ils portaient sur le dos, ancêtre du Kamishibaï.
Au cours de siècles, le Kamishibaï est influencé par le théâtre Kabuki et le théâtre d’ombre. Il reste durant cette longue période, destiné à un public adulte.
Avec l’arrivée du cinéma, la réquisition des salles sombres obligea des dizaines de milliers d’artistes employés dans les théâtres d’ombres à se reconvertir. Ils retrouvèrent alors l’ancienne technique des moines prêcheurs avec le Kamishibaï pour maintenir une activité de subsistance.
Ce n’est qu’à compter des années 20 que le Kamishibaï est utilisé auprès d’enfants. Les conteurs de Kamishibaï (3 millions de diseurs au Japon en 1937) parcouraient les quartiers à vélo pour raconter des histoires et vendre des friandises. Ces conteurs étaient appelés Gaïtos qui peut être traduit par « Bonhomme Kamishibaï » ou « Oncles Kamishibaï ».
Le Kamishibaï disparait des rues au Japon au milieu des années 50 avec l’émergence de la télévision. En ce sens, le Kamishibaï est considéré au Japon comme l’ancêtre de la télévision, par ailleurs appelée Kamishibaï électrique.
Enfin, le Kamishibaï fait son apparition en Europe dans les années 70 avec des histoires destinées aux enfants.
Le kamishibaï que l’on peut traduire par « Théâtre de papier », est le nom donné par les Japonais pour désigner une série de planches en papier puis plus tard en carton. Ces illustrations racontent une histoire et chaque image présente un épisode du récit.
Les planches illustrées sont introduites dans une glissière en bois fermée par 3 portes. Le butaï (castelet en bois) encadre l’image et focalise l’attention des auditeurs sur l’illustration.
Le kamishibaï apparait vers le VIII eme siècle au Japon. Il est utilisé par des moines Bouddhistes pour transmettre leur enseignement. Il est destiné à un public adulte afin de soutenir l’attention des auditeurs qui alors, étaient totalement illettrés. Ils s’accompagnaient de desseins peints sur des rouleaux de toile ou de papier collé, ou sur des planches de papier illustrées glissées dans un cadre de bois qu’ils portaient sur le dos, ancêtre du Kamishibaï.
Au cours de siècles, le Kamishibaï est influencé par le théâtre Kabuki et le théâtre d’ombre. Il reste durant cette longue période, destiné à un public adulte.
Avec l’arrivée du cinéma, la réquisition des salles sombres obligea des dizaines de milliers d’artistes employés dans les théâtres d’ombres à se reconvertir. Ils retrouvèrent alors l’ancienne technique des moines prêcheurs avec le Kamishibaï pour maintenir une activité de subsistance.
Ce n’est qu’à compter des années 20 que le Kamishibaï est utilisé auprès d’enfants. Les conteurs de Kamishibaï (3 millions de diseurs au Japon en 1937) parcouraient les quartiers à vélo pour raconter des histoires et vendre des friandises. Ces conteurs étaient appelés Gaïtos qui peut être traduit par « Bonhomme Kamishibaï » ou « Oncles Kamishibaï ».
Le Kamishibaï disparait des rues au Japon au milieu des années 50 avec l’émergence de la télévision. En ce sens, le Kamishibaï est considéré au Japon comme l’ancêtre de la télévision, par ailleurs appelée Kamishibaï électrique.
Enfin, le Kamishibaï fait son apparition en Europe dans les années 70 avec des histoires destinées aux enfants.
Le kamishibaï que l’on peut traduire par « Théâtre de papier », est le nom donné par les Japonais pour désigner une série de planches en papier puis plus tard en carton. Ces illustrations racontent une histoire et chaque image présente un épisode du récit.
Les planches illustrées sont introduites dans une glissière en bois fermée par 3 portes. Le butaï (castelet en bois) encadre l’image et focalise l’attention des auditeurs sur l’illustration.
Le kamishibaï apparait vers le VIII eme siècle au Japon. Il est utilisé par des moines Bouddhistes pour transmettre leur enseignement. Il est destiné à un public adulte afin de soutenir l’attention des auditeurs qui alors, étaient totalement illettrés. Ils s’accompagnaient de desseins peints sur des rouleaux de toile ou de papier collé, ou sur des planches de papier illustrées glissées dans un cadre de bois qu’ils portaient sur le dos, ancêtre du Kamishibaï.
Au cours de siècles, le Kamishibaï est influencé par le théâtre Kabuki et le théâtre d’ombre. Il reste durant cette longue période, destiné à un public adulte.
Avec l’arrivée du cinéma, la réquisition des salles sombres obligea des dizaines de milliers d’artistes employés dans les théâtres d’ombres à se reconvertir. Ils retrouvèrent alors l’ancienne technique des moines prêcheurs avec le Kamishibaï pour maintenir une activité de subsistance.
Ce n’est qu’à compter des années 20 que le Kamishibaï est utilisé auprès d’enfants. Les conteurs de Kamishibaï (3 millions de diseurs au Japon en 1937) parcouraient les quartiers à vélo pour raconter des histoires et vendre des friandises. Ces conteurs étaient appelés Gaïtos qui peut être traduit par « Bonhomme Kamishibaï » ou « Oncles Kamishibaï ».
Le Kamishibaï disparait des rues au Japon au milieu des années 50 avec l’émergence de la télévision. En ce sens, le Kamishibaï est considéré au Japon comme l’ancêtre de la télévision, par ailleurs appelée Kamishibaï électrique.
Enfin, le Kamishibaï fait son apparition en Europe dans les années 70 avec des histoires destinées aux enfants.
